Apprendre à écrire en attaché est-il encore nécessaire à un moment de l’évolution de notre société où le numérique s’impose dans tous les domaines de notre vie ? De nombreux chercheurs se sont penchés sur la question et l’actualité nous montre le rétropédalage de plusieurs pays qui avaient décidé de délaisser l’écriture manuscrite pour le clavier.
Car oui, même si apprendre à écrire à la main peut paraître fastidieux, cela présente de nombreux avantages. C’est ce que nous allons développer dans cet article en essayant de comprendre l’intérêt de l’écriture manuscrite, ses obstacles et la façon dont elle est enseignée.
Pourquoi apprendre à écrire en attaché est-il important ?
Selon Laurence Pierson, graphopédagogue, la maîtrise de l’écriture manuscrite décline. Elle l’explique par deux raisons :
- La diminution progressive du nombre d’heures destinées à l’apprentissage de l’écriture manuscrite à l’école.
- Une formation initiale des enseignants, insuffisante sur le sujet. D’ailleurs, ils sont nombreux à aller chercher les informations eux-mêmes.
C’est pour cette raison qu’elle est devenue graphopédagogue et qu’elle enseigne aujourd’hui la pédagogie de l’écriture. Selon elle, « Ce manque de maîtrise a des conséquences en cascade sur les études des jeunes ».
Effectivement, savoir écrire à la main favorise de nombreuses compétences. L’écriture manuscrite est une opération cérébrale favorable à l’apprentissage.
L’écriture cursive, appelée aussi écriture en attaché, ne se limite pas au seul geste d’écriture pour tracer des lettres.
Elle joue un rôle fondamental dans le développement global de l’enfant, en établissant des connexions profondes entre lecture, écriture et mémoire.
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L’écriture cursive facilite l’apprentissage de la lecture
L’acquisition de l’écriture et de la lecture sont fortement liées. En apprenant à écrire en attaché, les enfants mémorisent la forme et la trajectoire des lettres, mais aussi dans le cas de mots, leur ordre. Ce qui les aide en situation de lecture, à reconnaître des mots.
L’apprentissage de l’écriture cursive permet d’ancrer les relations entre la lettre (le graphème) et son son (le phonème). Les élèves peuvent ainsi mieux assimiler certains sons plus complexes. En effet, quand ils apprennent à écrire, on les habituent à faire “chanter les lettres”( par exemple, quand ils tracent la lettre r, on leur demande de vocaliser “rrrrrrr”). Cela va leur permettre de fixer plus facilement les sons aux lettres (ou groupes de lettres) et inversement. Quand ils retrouvent les lettres en situation de lecture, ils vont les reconnaître et leur associer les sons plus aisément.
Le sens de l’écriture de gauche à droite, est aussi celui de la lecture. Quand l’enfant écrit en attaché, il doit anticiper la lettre ou groupe de lettres suivant, ce qui va favoriser la fluidité de la lecture.
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L’écriture en attaché améliore la mémoire et la compréhension
Lorsque l’enfant écrit une lettre ou un mot, il sollicite sa mémoire motrice, ce qui aide à ancrer durablement les informations dans son cerveau. C’est ce qui explique pourquoi prendre des notes manuscrites est plus efficace pour retenir des informations que de les taper sur un clavier.
C’est ce qu’a démontré une étude de l’équipe d’Audrey Van der Meer : une vaste zone du cerveau est stimulée quand un participant écrit avec un stylo plutôt qu’à l’ordinateur. Les scientifiques ont aussi pu observer que plusieurs zones s’activaient en même temps, notamment celles associées aux mécanismes de l’attention et aux processus cognitifs intervenant dans la perception visuelle et le langage.
(Des connexions cérébrales renforcées : Des études ont montré que l’écriture manuscrite stimule des zones spécifiques du cerveau, particulièrement impliquées dans le traitement de l’information et la mémorisation.)
Les chercheurs conseillent ainsi de confronter les enfants à l’écriture manuscrite dès que possible afin de favoriser le connectivité neuronale qui offre au cerveau des conditions d’apprentissage optimales. Mais attention, il ne s’agit pas non plus de brûler les étapes au risque de mettre les enfants en situation d’échec : le mois de janvier en Grande Section semble être le moment idéal pour débuter le tracé des lettres cursives.
L’écriture manuscrite encourage à structurer ses pensées avant de les transcrire. Cela renforce leur capacité à organiser leurs idées, ce qui a un impact positif sur leur compréhension en lecture et leur expression écrite. C’est pourquoi certains étudiants continuent à prendre leurs notes avec un crayon et un papier plutôt qu’à l’ordinateur.
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L’écriture manuscrite développe la concentration et la coordination
Écrire en attaché est une activité plurisensorielle : elle implique la vue (suivre le tracé), le toucher (tenir et manier le crayon) et la cognition (penser aux lettres et aux mots) Ce qui engage pleinement l’enfant et améliore ainsi sa concentration … et la mémorisation.
Le geste précis de l’écriture cursive permet de renforcer la motricité fine des mains et des doigts, ce qui est essentiel pour d’autres activités quotidiennes et scolaires.
Apprendre à écrire en attaché est une compétence transversale qui soutient le développement intellectuel, moteur et émotionnel des enfants. En favorisant des liens profonds entre lecture, mémoire et écriture, l’écriture cursive devient un véritable pilier de leur apprentissage global.
Comment apprendre à écrire en attaché ?
Apprendre à écrire en attaché est un moment autant attendu que redouté par les enfants et leurs familles.
Il est souvent synonyme de passage à la grande école tout comme la lecture — et marque une étape importante dans le parcours scolaire de l’enfant.
Les parents ont hâte de découvrir les jolis tracés de lettres et espèrent fortement que tout se passera bien dès le début. Car il n’est pas évident d’intervenir sur des difficultés d’écriture : adulte, on a perdu le « bon geste », on écrit dans un mélange de cursif et de script et comme on n’est plus modélisant, on se sent moins légitime pour aider notre enfant.
Toutefois, si on respecte les étapes clés de l’apprentissage, les enfants avancent sereinement dans l’acquisition des compétences de graphomotricité.
Saviez-vous d’ailleurs que la vitesse d’écriture ne sera optimale que vers l’âge de 13-14 ans ?
Les enfants automatisent donc progressivement les programmes moteurs pour qu’un jour, ils n’aient plus besoin de contrôle et puissent se concentrer complètement sur la tâche qu’ils exécutent : produire un écrit en se focalisant sur la rédaction et les règles orthographiques.
Préparer le terrain : l’importance du travail préparatoire à l’écriture
Avant de se lancer dans l’apprentissage du tracé des lettres, les enfants vont se préparer de la petite section à la grande section au geste d’écriture, au déplacement du bras, à la tenue du crayon, etc.
Cette préparation tient compte du développement psychomoteur des enfants et ne pas le respecter riquerait de leur faire acquérir de mauvaises habitudes dont il serait difficile de se débarrasser par la suite.
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Développer la motricité fine
Elle est essentielle pour préparer à l’écriture. Elle permet non seulement de travailler la coordination œil-main, mais aussi d’affiner les gestes qui se font de plus en plus précis.
– Les activités sont très ludiques et les occasions de s’entraîner sont nombreuses :
– déchirer, froisser du papier ;
– malaxer la pâte à modeler pour en faire une boule ou un colombin ;
– enfiler des perles ;
– visser, boutonner, clipser des pièces de jeux ;
– transvaser (de l’eau, du sable, etc.) ;
– jeux de doigts grâce aux comptines.
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Travailler la coordination
Cette habileté va se faire par la prise de conscience du schéma corporel.
Par des chansons de geste en salle de motricité, les jeunes enfants vont peu à peu entrevoir leur corps et leurs membres comme une association de parties. Ils vont comprendre que le bras par exemple, est composé d’une partie supérieure articulée à l’avant-bras par le coude puisque la main est articulée par le poignet et que cette main comporte 5 doigts dissociables les uns des autres.
Cette prise de conscience progressive se vérifiera par l’évolution du dessin du bonhomme qui comportera de plus en plus de détails.
Les jeux d’adresse viendront conforter cet apprentissage et permettront d’apprendre à anticiper le résultat d’une action comme c’est le cas avec le lancer de balle.
Ce travail corporel va être d’une grande utilité au moment de l’apprentissage de l’écriture.
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Apprendre le geste
L’écriture manuscrite comporte trois composantes indissociables : le geste (composante motrice), le code ( composante symbolique) et le sens (composante sémantique).
Avant de demander à un enfant d’écrire une lettre, il doit donc maîtriser le geste et savoir à quel son elle est associée.
Et pour préparer à cette écriture manuscrite, il est essentiel de partir du geste c’est-à-dire de la façon dont on trace les formes de base dans un premier temps.
Il est intéressant de varier les situations de tracés : en l’air ( avec des foulards pour les boucles), dans du sable, de la semoule ou de la farine. Passer le doigt sur les lettres rugueuses de type Montessori est également intéressant. L’essentiel ici est de faire appel aux perceptions sensorielles des enfants pour qu’ils mémorisent le sens et la trajectoire des tracés.
Dans un second temps, les enfants observent le résultat de leurs tracés.
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Se mettre en position et bien tenir son crayon
Ces deux savoir-faire commencent à se travailler en maternelle dès que la maturité de l’enfant le permet.
Il est important de leur apprendre à s’asseoir correctement, face à la table et les pieds au sol pour que cela devienne un automatisme.
Il en est de même pour la tenue du crayon. La comptine et la gym des doigts sont des temps faciles à ritualiser pour développer la motricité fine et préparer à la tenue du crayon.
Des exercices tels que “1, 2, 3 soleil” et la “fléchette” sont des exercices parfaits pour apprendre aux enfants à tenir leur crayon correctement.
Pourquoi est-ce si important ?
Grâce à une bonne tenue du crayon, ils auront un geste plus fluide, une écriture lisible et sans douleur.
Nombreux sont les jeunes qui, en grandissant, se plaignent de douleurs qui deviennent parfois handicapantes et problématiques lors d’examens, par exemple.
Il est utile de préciser qu’il existe des crayons plus adaptés que d’autres à l’apprentissage de l’écriture. En effet, les stylos à bille sont déconseillés car, pour faire rouler la bille, l’enfant doit le tenir vertical, ce qui induit une mauvaise préhension du crayon. Samirra Trari, graphopédagogue, partage avec vous son top 3 des stylos qu’elle recommande pour apprendre à écrire.
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Pratiquer le dessin et le coloriage
Le dessin est le premier moyen d’expression d’un enfant avec un crayon. Que ce soit à l’école ou à la maison, il est important de le laisser le pratiquer le plus souvent possible, car, c’est par cet entraînement qu’il va développer sa coordination main-œil et affiner son geste.
Le coloriage est une activité intéressante à proposer également, mais en veillant à adapter les surfaces à leur développement moteur : les petites surfaces sont à privilégier pour les plus petits qui doivent apprendre à bien positionner leurs doigts et à effectuer les bons mouvements là où les grandes surfaces engagent le poignet, ce qui compliquerait la tâche.
Le gribouillage est une technique ludique à utiliser, car il ne mobilise que les doigts et permet ainsi de travailler la tenue du crayon.
Tout comme pour l’activité d’écriture, soyez vigilants aux crayons que vous proposez aux plus jeunes. En petite section, les craies-galets appelées encore crayons-cailloux sont parfaites pour les petites mains et leur permettent facilement d’utiliser leurs doigts.
👉 Lisez aussi cet article pour préparer votre enfant à l’écriture avec 10 activités efficaces.
La préparation à l’écriture manuscrite est une étape fondamentale qui débute dès la petite section et s’affine tout au long de la maternelle. Elle repose sur des activités ludiques et variées visant à développer la motricité fine, la coordination et la posture, tout en initiant les enfants au geste d’écriture.
Respecter le développement psychomoteur de chaque enfant est essentiel pour éviter l’acquisition de mauvaises habitudes qui pourraient nuire à leur aisance et à leur plaisir d’écrire. Grâce à un encadrement adapté et des outils appropriés, les enfants acquièrent progressivement les bases solides nécessaires à une écriture fluide, lisible et sans douleur, préparant ainsi leur chemin vers un apprentissage épanouissant et durable.
En route vers l’écriture manuscrite
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La perception de la latéralité et le sens conventionnel de l’écriture
Par le biais de jeux en salle de motricité, de comptines et de jeux dansés, les enfants vont peu à peu se familiariser avec la droite et la gauche.
La répétition des activités en GS est essentielle pour qu’il y ait une véritable imprégnation. Toutefois, gardons en tête que de nombreux enfants se latéraliseront plus tard, au CP voire au début du CE1.
Au moyen d’activités d’alignement d’objets ou de gommettes dès la MS, les enfants vont progressivement s’imprégner de la notion d’alignement mais aussi du sens conventionnel de l’écriture qui est de gauche à droite. Comme pour la latéralité, les entraînements doivent être réguliers afin de rendre automatique l’utilisation du sens conventionnel.
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Le graphisme décoratif
C’est une activité quasi quotidienne dans les classes de maternelle et qu’il est intéressant de continuer au CP.
Attention toutefois aux fiches que vous pourriez proposer aux enfants. En effet, sous couvert d’une activité plutôt attrayante et ludique, l’objectif d’une fiche de graphisme est de préparer à l’écriture.
Or, de nombreux fichiers proposent des activités qui pourraient être qualifiées de contre-productives :
- des formes qui ne correspondent pas à des formes de base de la cursive comme les vagues
- la taille des formes n’est pas adaptée aux capacités des enfants : trop grandes, elles nécessitent de mobiliser le poignet alors que l’écriture fait appel aux mouvements des doigts.
- les formes à tracer sont croissantes ou décroissantes, ce qui n’est pas cohérent avec l’écriture : tous les “a” cursifs sont de la même hauteur, il en est de même pour l’ensemble des lettres.
- il est souvent demandé aux enfants de repasser sur les pointillés ; dans ce cas, l’enfant se concentre sur la composante visuelle de la lettre/ la forme et non plus sur son geste pour la tracer. Ce qui va à l’encontre de l’apprentissage mené pour préparer les enfants à l’écriture en attaché.
Dans son livret d’accompagnement sur Le graphisme à l’école maternelle, le ministère de l’Éducation nationale préconise une démarche qui permet d’exploiter le graphisme comme une véritable activité préparatoire à l’écriture en lié.
En effet, la démarche proposée part de la maîtrise du geste graphique et conduit à la réalisation de tracés de plus en plus précis et contrôlés pour remplir une surface donnée.
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Tracer les formes de base pour apprendre à écrire en attaché
Tout commence par le geste de la boucle. Une fois que les élèves ont bien intégré le sens de tracé, ils vont apprendre à tracer des petites boucles ( qui préparent à l’écriture du e) puis de plus grandes boucles (pour écrire plus tard la lettre l).
Viennent ensuite les étrécies encore appelées les pointes. Elles s’obtiennent en faisant le même geste que la boucle mais en l’étrécissant, c’est-à-dire, en la rendant plus étroite. Ce geste permettra d’écrire les lettres i, u et t.
La forme suivante que les enfants apprennent à tracer est le rond : on commence par le rond ouvert pour écrire un c, puis un a, un d et un o. La difficulté de ce geste est qu’il nécessite une interruption dans le tracé.
La dernière forme préparatoire à l’écriture est le pont.
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Associer écriture et lecture
Benjamin Stevens, orthophoniste et créateur de la méthode Apili, précise dans le préambule de son Cahier d’écriture, une réalité qu’il est indispensable d’avoir en tête : “Écrire les lettres aide à les retenir ….] à l’aide cette mémoire corporelle ….] l’écriture va aider les enfants à retenir le nom des lettres et le bruit qu’elles produisent : la fameuse correspondance graphophonémique, c’est-à-dire le lien entre la lettre et le son associé ”.
C’est bien en écrivant que bon nombre d’enfants apprennent à lire. On ne peut dissocier ces deux apprentissages.
Mais il n’est pas toujours facile de les combiner car la progression de la méthode de lecture peut légèrement différer de celle d’écriture. On ne peut demander à un élève d’écrire la lettre « a » s’il n’a pas encore appris à la tracer.
Il est donc essentiel de faire « encoder » le plus souvent les enfants, c’est-à-dire de les faire écrire des syllabes simples puis des mots, en associant la lettre au son. Favorisez les sons simples au début de l’apprentissage (évitez les « ou », « on », etc.).
Si l’enfant doit écrire un son dont il n’a pas appris à tracer la lettre, vous pouvez lui proposer des lettres mobiles.
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Oraliser son geste
Il est indispensable d’apprendre à l’enfant à oraliser son geste d’écriture pour bien l’intégrer. Il va par ailleurs progressivement apprendre à associer geste et son, en découpant les mots en unités de sons.
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Se repérer sur les lignages
C’est une grande étape de l’apprentissage de l’écriture attachée. Vous trouverez tout un tas de lignages différents pour apprendre aux enfants à écrire.
L’idéal est d’adopter le Seyès 3mm qui est le plus courant en France. Il est intéressant d’avoir le 1er interligne coloré (la ligne de base) pour que l’enfant se repère facilement.
Dès la fin de GS, des activités de repérage d’interlignes peuvent être proposées aux enfants.
La perception de la latéralité, le sens conventionnel de l’écriture, les gestes graphiques et le repérage sur les lignages forment un socle fondamental pour acquérir une écriture cursive efficace et fluide.
Chaque activité, qu’elle soit ludique ou plus technique, joue un rôle crucial dans cette progression. N’oublions pas que l’écriture ne se limite pas à un geste technique. Elle est une clé vers la lecture et vers l’expression autonome et créative.
Il est essentiel de ne pas diaboliser l’écriture dactylographiée, qui est aujourd’hui une compétence incontournable dans notre société numérique. Cependant, apprendre à écrire en attaché demeure une étape clé pour développer les compétences motrices et cognitives de votre enfant.
Et cela représente bien plus qu’une simple compétence technique : c’est un pilier fondamental du développement global de l’enfant.
Cette pratique enrichit la mémoire, renforce la motricité fine, améliore la concentration, et joue un rôle clé dans l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Cependant, malgré ses nombreux bienfaits, cet apprentissage peut s’avérer complexe.
Certains enfants rencontrent des difficultés dans la maîtrise des gestes, dans l’association des sons et des lettres, ou encore dans le repérage sur les lignages. Ces obstacles, s’ils ne sont pas surmontés, peuvent entraîner une frustration, une baisse de l’estime de soi ou des douleurs liées à une mauvaise posture ou tenue du crayon.
C’est pourquoi il est crucial d’en parler et d’agir tôt. Si les difficultés persistent, l’accompagnement d’un professionnel tel qu’un orthophoniste ou un graphopédagogue peut faire toute la différence. Grâce à des approches adaptées et bienveillantes, ces professionnels sauront guider les enfants pour surmonter leurs difficultés et retrouver le plaisir d’écrire.
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